
Cette notion entraîne souvent une mise en scène.
L’entraînement au dôjô nécessite une codification perpétuelle. Les règles de travail se doivent d’être précises pour éviter tout accident et pour nous permettre de nous entraîner sans risques. Obligatoirement, l’attaque, la technique doivent être codifiées surtout pour les premiers niveaux de travail.
Le débutant doit comprendre ce principe afin de chercher à progresser. S’il cherche à bloquer ou à contrecarrer une technique , le résultat sera un simple pugilat. L’un veut bloquer, l’autre veut passer, les deux ne connaissant pas la technique font très vite autre chose que du Budô.
Sur un ancien, cela le conduira très certainement à la douleur, inutile en cette occasion.L’ancien qui bloque un débutant ne doit le faire que dans un but éducatif, avec l’accord du professeur. Sinon, le débutant sera frustré et ne pourra pas progresser.Si le débutant connait peu ou mal la technique, le partenaire plus ancien va la faire seul pour le guider, en chutant sans lui s’il le faut. En prenant le sens du Kata (forme codifiée), chacun connait son rôle et les risques sont diminués au maximum.
Le rôle de Aïte ou Uchidachi :
1- Permettre à Tori de faire la meilleure technique possible. Lui donner l’occasion de travailler cette technique à ce moment là. Placement du corps et chute appropriée selon le type de travail (Shûgyô)
2- Faire une chute, selon son niveau, la plus rapide possible qui permette de se sortir d’une situation difficile, sans douleur ni encombre.
Le rôle de Tori ou Shidachi :
1- Faire la technique la plus précise et la plus efficace possible.
2- Respecter le niveau de son partenaire pour ne pas le détruire. Un débutant ne peut chuter comme un pratiquant de plusieurs années.
Dans cet état d’esprit, la technique sera exécutée uniquement pour travailler et progresser selon son niveau. Le premier rôle n’est pas un rôle d’efficacité. Le but est de faire la technique.
Cette notion d’entente mutuelle nous amène tout naturellement à étudier les 2 notions qui suivent :
Jita Kyôei : prospérité mutuelle (aide et assistance à autrui, enrichissement mutuel dans la pratique).
Sessa Takuma : polissage mutuel.
L’entraînement au dôjô nécessite une codification perpétuelle. Les règles de travail se doivent d’être précises pour éviter tout accident et pour nous permettre de nous entraîner sans risques. Obligatoirement, l’attaque, la technique doivent être codifiées surtout pour les premiers niveaux de travail.
Le débutant doit comprendre ce principe afin de chercher à progresser. S’il cherche à bloquer ou à contrecarrer une technique , le résultat sera un simple pugilat. L’un veut bloquer, l’autre veut passer, les deux ne connaissant pas la technique font très vite autre chose que du Budô.
Sur un ancien, cela le conduira très certainement à la douleur, inutile en cette occasion.L’ancien qui bloque un débutant ne doit le faire que dans un but éducatif, avec l’accord du professeur. Sinon, le débutant sera frustré et ne pourra pas progresser.Si le débutant connait peu ou mal la technique, le partenaire plus ancien va la faire seul pour le guider, en chutant sans lui s’il le faut. En prenant le sens du Kata (forme codifiée), chacun connait son rôle et les risques sont diminués au maximum.
Le rôle de Aïte ou Uchidachi :
1- Permettre à Tori de faire la meilleure technique possible. Lui donner l’occasion de travailler cette technique à ce moment là. Placement du corps et chute appropriée selon le type de travail (Shûgyô)
2- Faire une chute, selon son niveau, la plus rapide possible qui permette de se sortir d’une situation difficile, sans douleur ni encombre.
Le rôle de Tori ou Shidachi :
1- Faire la technique la plus précise et la plus efficace possible.
2- Respecter le niveau de son partenaire pour ne pas le détruire. Un débutant ne peut chuter comme un pratiquant de plusieurs années.
Dans cet état d’esprit, la technique sera exécutée uniquement pour travailler et progresser selon son niveau. Le premier rôle n’est pas un rôle d’efficacité. Le but est de faire la technique.
Cette notion d’entente mutuelle nous amène tout naturellement à étudier les 2 notions qui suivent :
Jita Kyôei : prospérité mutuelle (aide et assistance à autrui, enrichissement mutuel dans la pratique).
Sessa Takuma : polissage mutuel.